Un demandeur d’emploi peut exercer du volontariat sans perdre ses allocations pour autant qu’il en fasse la déclaration auprès de son organisme de paiement.
PLUS D’INFOS ? www.levolontariat.be/enjeux/loi
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comme jpense avoir entendu que tu aimes la poésie, voici ci dessousndes extraits d’un texte de Néruda, que jje chéris.
je le ressort depuis qq années quand l’automne revient dorer nos sous bois.
Kiemke, un de mes fiston, m’a dit que Radio Panik prépare une émission sur les afghans,
je serais dimanche à Bruxelles, j’ai ses pommes à leiur apporter,
je te donnerai des nouvelles en revenant,,
où habites tu à Godinne,?
Merel m’a dit que vous avez une chambre de libre ou une yourte? que vous cherchez quelqu’un???
dis moi stp, ce qui en est, ce que vous proposez comme lieu, quel profil vous souhaiteriez, quelle dimension communautaire vous vivez dans ce lieu, etc,,,,????
merci,
a bientôt
de tout coeur,
chouette ton site,
y avait un bonne émission sur le gaz de chiste en Pologne aujourd’hui , la voici
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2862
ciao,ciao
marie
ODE A L’AUTOMNE,
Alors,
l’air apporte un matin
une vapeur planétaire.
D’une autre étoile
tombent des gouttes d’argent.
On respire
le changement
frontalier,
de l’humidité au vent,
du vent aux racines.
Quelque chose de sourd,de profond,
travaille sous terre,
engrange des rêves.
L’énergie se pelotonne,
le ruban
des fécondations
enroule ses anneaux.
L’automne est modeste
comme les bûcherons.
C’est quelque chose
que d’enlever toutes les feuilles
de tous les arbres
de tous les pays.
Le printemps
les a cousues en volant
et maintenant
il faut les laisser
tomber comme si c’était
des oiseaux jaunes.
Ce n’est pas facile.
Il faut du temps.
Il faut courir tous
les chemins,
parler des langues,
le suédois
le portugais
parler en langue rouge,
en langue verte.
Il faut savoir
se taire dans toutes
les langues
et partout,
toujours,
laisser tomber,
tomber
les feuilles.
C’est difficile
d’être
l’automne,
c’est facile d’être le printemps,
d’allumer tout ce qui est né
pour être allumé.
Mais éteindre le monde
en glissade
comme s’il était anneau
de choses jaunes,
jusqu’à fondre odeurs,
lumière,racines,
faire monter le vin aux raisins,
avec patience frapper
l’irrégulière monnaie
de l’arbre,là-haut,
pour la répandre ensuite
sur d’indifférentes
rues désertes.
J’ai toujours voulu être apprenti d’automne,
être jeune parent
du laborieux
mécanicien de la hauteur,
galoper sur la terre
pour répartir
de l’or,
or inutile.
Mais demain,
automne,
je t’aiderai pour que
les pauvres du chemin
ramassent des feuilles d’or.
Automne,bon cavalier,
galopons,
avant que le noir hiver
nous coupe le chemin.
Il est dur,notre long travail.
Nous allons
préparer la terre
et lui demander
d’être mère,
de garder les semences,
qui dans son ventre
vont dormir,aux soins
de deux cavaliers rouges
qui courent par le monde:
l’apprenti automne
et l’automne.
Ainsi des racines
obscures et cachées
pourront sortir,dansant,
la senteur
et le voile vert du printemps.
Pablo Néruda,
Bonsoir Marie,
C’est bizarre je t’ai déjà répondu…
Pas de nouvelle de toi ?!
Je te laisse à nouveau mes coordonnées : 0032 474 799.221
Oui, nous nous lançons dans un projet collectif.
Une chambre est disponible à partir du mois de février mars/avril…
Possibilité de mettre une yourthe ??!
J’attends de tes nouvelles.
Bien à Toi.
Graziella