SQUAT DU RECTORAT À L’UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES. Malheureusement, les recteurs (moi, je trouve et on est tous d’accord là-dessus), ils se maintiennent toujours plus dans un certain rôle managérial…+ LA RUE EST À NOUS, ALORS DANSONS MAINTENANT !

Pour ré-insister là-dessus, c’est bien le CRef (Le Conseil des recteurs réunit les recteurs des institutions universitaires de la Fédération Wallonie-Bruxelles) qui décide la plupart des politiques à mener dans l’enseignement supérieur. Parfois, il (le CRef) donne des consignes et des orientations au Cabinet et au Parlement. Ce n’est pas comme si, ils (les recteurs) devaient subir toutes sortes de directives. Et celle-là, (hausse du minerval) par exemple, cela vient d’eux. C’est eux qui l’ont inventé. C’est eux qui font le lobby auprès du Cabinet pour que cela passe dans des décrets.

Les recteurs, ils défendent l’excellence. C’est une idéologie qui vise à rendre l’enseignement toujours plus élitiste.

La question qu’il faut se poser aujourd’hui et je pense que c’est aussi à plus long terme : Quel est l’enseignement supérieur que l’on veut pour demain ? Pour nos ami.e.s, pour nos frères, pour nos soeurs, pour ceux qui viennent après nous. Et donc, il est vraiment important de se poser cette question. Et de se la poser le plus largement parce que cela va définir quelle société on va avoir. L’enseignement a le poids d’influencer la société de demain et il faut pouvoir en tenir compte.

Il faut sortir de l’idée que l’université c’est un petit cocon. On y va juste pour suivre des cours comme si on allait consommer des produits dans un supermarché. Non. Il y a énormément de réflexions critiques à avoir sur comment on vit. Dans cette université, c’est le lieu, c’est la place pour l’avoir. Il faut profiter des occasions qui se présentent (comme celle-ci en ce moment) pour venir parler, discuter, penser l’avenir.

MONA, CORALIE ET ARVILLE

 

C’est quelqu’un de mon groupe de danse. Il m’a téléphoné. Il m’a dit : on va à la gare de Luxembourg s’entraîner. En général, c’est  un des endroits, où l’on vient quand on n’a pas de salle ou quand on a envie de se retrouver avec d’autres danseurs et qu’on a contacté personne. On vient un jour de répète. On vient s’entraîner ici.

La danse, c’est géniale. Il faut danser. C’est un moyen d ‘expression. C’est un exutoire. C’est une manière de s’amuser, de se défouler. Il y a tellement de raisons que ce n’est plus nécessaire de les citer, je pense.

PRÉCILIA, OSCAR, REDA ET ISRAËL

ENTRAÎNEMENT LES MARDIS ET LES JEUDIS GARE DE BRUXELLES-LUXEMBOURG