Ma casquette de philosophe pourrait intervenir ici en disant que l’on a séparé, que l’on a regroupé…Tiens, l’air de rien, est-ce que le fait de distinguer, de classer les choses serait une des premières manières de penser le monde ?
JULIEN
Ma casquette de philosophe pourrait intervenir ici en disant que l’on a séparé, que l’on a regroupé…Tiens, l’air de rien, est-ce que le fait de distinguer, de classer les choses serait une des premières manières de penser le monde ?
JULIEN
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cyprès ou genévrier ? Genévrier.
Vallée de la Lhomme ou de la Lesse ?
La villa de Malagne se dresse sur un des versant de la vallée de La Lomme, Lhomme ou L’Homme affluent de la Lesse en rive droite.
classer, distinguer, catégoriser
Je vous propose deux livres pour creuser ce problème :
– PEREC G., « Penser / classer », éd. Seuil / La librairie du XXIe s., 2003, 177p.
– SASSEVILLE M. et GAGNON M., « Penser ensemble à l’école. Des outils pour l’observation d’une communauté de recherche philosophique en action », 2e éd., Québec, PU Laval, 2012, 274p.
La consoude à l’époque romaine est nommée de 15 manières différentes : al Celtarum, allium, anachylis, anagallicum, anazelitis, arum Gallicum, conferua, confirma, consolida, cotonea, haemostasis, inula, pectis, soldago, symphytum ! (ANDRE J., « Les noms des plantes dans la Roma antique », éd. Les Belles Lettres, 1985, 333p. ). De ces noms, on peut repérer qu’elle était bien connue sur le territoire gaulois. Elle apparaît dans les ouvrages de médecine, dans les inscriptions monumentales, chez le poète Ausone et chez l’encyclopédiste Pline. Les Anciens connaissaient déjà ses vertus réparatrices (lire par exemple Pline, H.N., 26, 137).
Une adventice désigne, pour les agriculteurs et les jardiniers, une plante qui pousse dans un endroit où on ne souhaite pas la voir se développer (champs, massifs…) car elle risquerait d’entrer en concurrence avec les plantes cultivées. Ce n’est pas un terme de botanique mais une vision anthropocentrée de la place des végétaux. Ces plantes ne sont pas particulièrement exotiques ou envahissantes, mais très souvent des espèces favorisées par les perturbations et des écosystèmes et la création d’espaces rudéraux ou urbains.
En agronomie, ce mot désigne une plante herbacée ou ligneuse indésirable à l’endroit où elle se trouve, désignée dans le langage courant par l’expression « mauvaise herbe ». (wikipedia)
Je parle beaucoup … Cette visite était un 2e essai. Il me semble que la visite avait plus de sens et était plus vivante lorsqu’elle est faite à deux voix. Cela permet d’avoir deux dynamiques, deux centres d’intérêt, deux vitesses. Cela permet de séparer l’explication du jardin, l’exposition d’un savoir et le questionnement, l’appropriation existentielle de la visite. Difficile pour moi en tout cas d’enchaîner une visite interactive des jardins gallo-romains (pour éviter la visite robotique) et animer les débuts de discussions philo qui en émergeaient, le tout en un temps record d’environ 1h … Vivement le 3e essai, non ?