LE ROI EST NU ! C’EST LE CRI QUI DÉFAIT L’IMPOSTURE, DÉGONFLE LA BAUDRUCHE, FAIT TOMBER LES MASQUES, LES FEINTES, DÉVOILE L’ÉVIDENCE.

Ma question de départ a été : pourquoi est-ce que les médias ont décidé autour de cette pandémie de faire une communication aussi anxiogène et non pas une information ? C’est-à-dire que l’on sent très bien qu’ils ont confondu information et communication. Leur boulot normalement c’est de donner de l’info. Or ce qu’ils ont fait c’était de communiquer en gros les ordres du gouvernement. Donc : « Restez chez vous. », etc. Et je pense qu’ils n’ont pas réussi à sortir de ça.

Au départ c’était compréhensible, c’était un peu la panique. Personne ne savait ce qu’il fallait faire. Ok, « on reste chez soi ». Il y a beaucoup de morts. Les hôpitaux sont débordés. D’accord. Après deux mois, c’était fini en gros. Puis, ils ont continué à alimenter cette peur. Comme il n’y avait plus beaucoup de morts, ben ce n’est pas grave, on a commencé à compter les cas sauf que les cas, ce n’est pas des cas. C’est juste des cas positifs et ça, ils ont oublié de le préciser. Ils ne le précisent toujours pas d’ailleurs. Donc, il y a cette anxiété qui a été générée et qui a perduré. Principalement à cause de la manière dont les médias communiquaient.

En fait, si vous éteignez votre TV et que vous regardez autour de vous, il n’y a pas de pandémie. Il ne se passe rien. Il faut vraiment être accro à l’information pour se rendre compte qu’il y a quelque chose qui se passe.

Une épidémie normalement c’est quelque chose d’abord qui fait de nombreuses victimes ou de nombreux malades. Et on a beau nous dire que les hôpitaux sont à saturation – ils ont été à saturation parce qu’il n’y avait pas beaucoup de lits – , mais je sais que c’est très difficile à entendre surtout si vous avez été touché personnellement ou si vous avez perdu un proche. Si on regarde purement d’un point de vue scientifique, si on se donne la peine de prendre un peu de recul, on se rend compte que voilà, c’est : 0,17 % de la population et la plupart c’est au-delà de 80 ans.

Les gens qui sont morts avaient atteint leur espérance de vie. Donc, d’ici maximum deux ou trois ans je dirais, ce sont des gens qui seraient quand même partis.

On est à 0,02 % de la population mondiale qui est morte du Covid. On est très, très loin d’une apocalypse mais malgré tout, le ressenti est que ça a été absolument dramatique, catastrophique. On fait des équivalences avec la Seconde Guerre mondiale. Voilà. Tout ce discours m’a posé des questions.

En fait, un réalisateur de documentaire c’est quelqu’un qui fait du cinéma et pas de l’information, mais au départ du réel. Et ici, la difficulté c’est que le réel qui nous est présenté dans les médias ne correspond pas à la réalité.

Comme j’enquêtais sur les médias, sur la manière dont ils racontaient le Covid, ben, j’ai énormément lu, écouté et regardé. J’ai surtout essayé de voir la différence entre ce qui était dit et ce qui n’était pas dit. C’est-à-dire que sur une information qui arrive, on voit très bien que le journaliste va insister sur certains éléments et moins sur d’autres. L’exemple typique est que depuis au moins 6 mois, on ne parle plus que du vaccin et que les alternatives n’existent plus.

Je pense que l’on a atteint un sommet jamais atteint dans l’histoire des médias, c’est que maintenant il est devenu strictement interdit de questionner, de simplement questionner la vaccination. Parce que comme on doit atteindre 70 % de personnes vaccinées, il faut provoquer l’adhésion de la population et donc, gommer toutes les incertitudes, tous les petits accros qui pourraient y avoir dans la campagne vaccinale. Je parle du fait qu’il ne faut surtout pas que l’on puisse laisser entendre qu’il pourrait y avoir des effets secondaires, etc.

Là, on entend déjà dire qu’il y a pas mal de décès dans les maisons de repos suite à la vaccination. C’est un tabou absolu.

Pour la petite histoire, mon film vient d’être retiré de Viméo après 660 000 vues. J’ai demandé le pourquoi ? J’ai reçu un avis de la part des États-Unis puisque Viméo est une société américaine disant qu’il n’acceptait pas les « fausses allégations » sur la sécurité des vaccins. Dans mon film, il n’y a même pas d’« allégations » sur la sécurité des vaccins. Le simple fait de poser la question puisque je dis à un moment : « Je préfère attendre un peu parce que je trouve quand même que c’est un peu présomptueux de penser qu’il n’y aura pas d’effets secondaires alors que c’est une technologie relativement nouvelle quoi. » Et bien, rien que ça, a suffi à ce que le film soit censuré. On voit bien qu’il n’y a plus aucun espace de liberté d’expression sur cette question-là en tout cas.

Le succès du film est dû en fait que j’ai probablement dit tout haut ce qu’énormément de personnes n’osaient pas dire.

J’ai des centaines de mails de médecins hospitaliers qui me disent qu’ils n’en peuvent plus de ces mensonges. Des journalistes au sein des rédactions – de grands journaux, de grandes télévisions – que je ne peux citer, mais qui m’écrivent en disant : « Tu as bien fait de briser l’omerta parce qu’on n’en peut plus. »

C’est quand même extraordinaire que Le Soir fasse une pleine page sur un film sans interroger son réalisateur. Il [Le Soir] demande à deux personnes d’analyser le film, mais le réalisateur n’est pas convié.

Si le film : « Ceci n’est pas un complot » pouvait juste éveiller la conscience de certaines personnes, ce serait magnifique.

BERNARD CRUTZEN + VOIR LE FILM CECI N’EST PAS UN COMPLOT –https://linktr.ee/CNPC_2020 + LE LIEN DU FILM MALARIA BUSINESS – https://vimeo.com/231435948/6035017250 –