Comment on se renseigne ?
D’abord on n’écoute pas les « merdias » classiques. On évite d’écouter la RTBF, TF1 et des cochonneries pareilles. On voit bien qu’aujourd’hui en 2021 par exemple, CNN a perdu 90 % de son audience ce qui n’est jamais que justice. J’espère que la RTBF suivra le même traité sympathique. Donc, on se renseigne de manière alternative. On écoute les gens qui ont quand même de la bouteille et une vraie réputation comme le professeur Raoult. On se demande pourquoi des médicaments comme l’hydroxychloroquine début janvier [2021] sous la houlette de madame Buzyn, mais qui est évidemment téléguidée par d’autres forces à l’arrière, décrète que l’hydroxychloroquine qui a été prescrite par milliard de doses sans problème est devenue un produit vénéneux. On se rend bien compte que là, il y un début de magouilles. Donc, pour ceux qui veulent bien réfléchir un peu, il devient difficile à partir du mois de juin-juillet 2020 de ne pas se rendre compte qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Mais on voit bien que de l’autre côté – c’est-à-dire le pouvoir avec un grand P – on a déjà un autre projet en tête c’est celui entre guillemets du « vaccin ».
Bon, alors on se dit que c’est un virus ARN et on ne voit pas très bien comment on va faire un vaccin parce que si ça pouvait se faire, ça serait déjà fait.
C’est un business (l’armement] qui a été capturé depuis longtemps par l’industrie pharmaceutique et je l’avais déjà dit l’année dernière, c’est monsieur Rockefeller à qui on fait le reproche début du XX siècle de gagner trop bien sa vie, d’avoir établi des monopoles et qui dit : « Bin, qu’à cela ne tienne, je vais devenir très généreux. Je vais faire des fondations. » En faisant des fondations, il capture aussi toute la littérature scientifique parce que c’est un fin renard et ça n’a pas changé depuis lors c’est toujours la même chose. Et quand on vient de voir comme l’année dernière des scandales à répétition comme celui du Lancet où ce sont de fausses études dirigées par de vraies actrices pornos, on se dit : « il y a quand même quelque chose qui ne ne vas pas ».
C’est là que l’on voit qu’on n’est plus dans la science et qu’on est dans la religion. Et ce que j’ai vu apparaître, disons dans ma génération et par rapport à celle qui était avant moi c’est une disparition complète de l’esprit critique et du bon sens.
Aujourd’hui, je crois qu’il n’y a plus grand monde qui rejette l’hypothèse d’un virus artificiel. Ça a quand même un peu bougé [je veux dire]…
Je ne sais plus qui a dit : « On peut mentir à une personne tout le temps, on peut mentir à tout le monde une fois, mais on ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps. »
Je reprends les bons auteurs de propagande à savoir Joseph Goebbels qui disait : « Un mensonge mille fois répété devient une vérité. » Il avait bien compris Jospeh et plus c’est gros plus ça passe. Parce qu’effectivement quand on arrive à ce degré d’épouvante – parce qu’on arrive quand même à un degré d’épouvante – l’esprit humain est ainsi fait qu’il refoule, il se fragmente parce qu’il ne peut pas accepter une réalité aussi terrible, aussi terrifiante.
On ne peut pas imaginer un seul instant que des gens qui prétendent vouloir votre bien font votre mal. Il y a des tas de constructions intellectuelles et affectives qui font barrage à une analyse froide, scientifique et glacée. C’est trop terrible à entendre.
On a confié à Pfizer par exemple le soin de comptabiliser les effets secondaires de son propre vaccin. C’est exactement comme si on donnait à Al Capone le soin de faire des statistiques de la délinquance à Chicago. Bon, voilà. Mais ça n’a pas l’air de gêner grand monde…
DOCTEUR YVES COUVREUR
PHOTO : WIKIMEDIA – ROBOT –
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